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Stop à la politique anti-chrétienne du gouvernement !

Stop à la politique anti-chrétienne du gouvernement

En temps de calamité, rendre à Dieu le culte qui Lui revient et conforter les fidèles par les sacrements ne sont pas des activités secondaires comme M. Macron semble le croire. Pour protester, cliquez ici.

C’est du jamais vu dans l’histoire de France depuis la Révolution !

Pour « éviter » une éventuelle contamination au Covid-19, les Français subissent encore l’interdiction d’assister à la Messe dans une église.

Pourtant personne n’empêche quelqu’un d’aller au supermarché ni de prendre les transports en commun où la promiscuité est bien plus grande que dans une église aérée et peu fréquentée.

« Sommes-nous réputés incapables de précautions sanitaires ? » s’est interrogé pendant le confinement l’évêque de Bayonne.

C’est à la fois un devoir et un droit pour l’Église.

L’interdiction temporaire d’assister à la Messe à l’église n’est pas hélas la seule attaque que les chrétiens font l’objet publiquement en France. Le ministère de l’Intérieur a recensé plus de 1 000 actes antichrétiens en 2019 ! Parmi lesquels, des profanations d’églises et des cimetières. Sans parler des blasphèmes ignobles qui sont proférés sur le service public, en toute impunité.

Que font les autorités publiques contre cela ?

Rien, ou si peu… Quel contraste avec le zèle qu’elles mettent à empêcher l’assistance à la Messe !

Ne pas priver les fidèles de la nourriture essentielle qu’est la grâce sacramentelle

M. Macron avait déclaré en 2018, lors de son discours aux Bernardins, que « la sève catholique doit contribuer encore et toujours à faire vivre notre nation ». Comment cette sève pourrait-elle faire vivre la nation si on tente de couper l’arbre à la racine que sont les sacrements ?

S’il vous plaît, envoyez tout de suite votre message de protestation à M. Macron, en cliquant sur ce lien : https://petit.io/petition/federation-pro-europa-christiana/stop-a-la-politique-anti-chretienne-du-gouvernement

« On ne peut pas priver nos fidèles de la nourriture essentielle qu’est la grâce sacramentelle », a réagi l’évêque de Montauban, Mgr Bernard Ginoux, après la décision du gouvernement d’interdire les célébrations publiques jusqu’au 2 juin.

L’archevêque de Paris a vivement dénoncé la tentative de trois policiers armés d’interrompre la messe célébrée par un prêtre dans sa propre église à Paris le 19 avril dernier, à laquelle participaient des fidèles que l’on pouvait pourtant compter sur les doigts de la main.

Il faut reconnaître que c’est moins risqué de s’en prendre à un prêtre et à une poignée de fidèles que de remettre de l’ordre dans les banlieues où les échauffourées se sont multipliées à l’approche du ramadan… Cette façon de prétendre mettre le culte catholique en coupe réglée est inadmissible.

« Il semble y avoir peu de différence entre aller au cinéma ou dans une église pour une assemblée liturgique »

« Je pense que la prière n’a pas forcément besoin de lieu de rassemblement », a prétendu le ministre de l’Intérieur le 3 mai. Mais pour qui se prend M. Christophe Castaner ? Qui est-il pour dire à l’Église et aux catholiques comment il faut pratiquer ?

L’abbé Simon d’Artigue a fait remarquer que « le rôle du ministre de l’Intérieur est de garantir la liberté de culte, en aucun cas de nous expliquer comment l’exercer. Par cette déclaration il outrepasse ses prérogatives ».

Et comme le rappelait l’évêque de Cahors, « l’autorité de l’Église, en son âme et conscience, est entière et non discutable, dans sa manière d’organiser le culte à l’intérieur des églises. Celles-ci lui sont affectées de manière exclusive, gratuite et définitive, selon la loi de 1905. En faisant entrer les célébrations cultuelles dans le cadre des rassemblements, tous interdits, une sorte d’amalgame transparaît. De fait, en matière sanitaire, il semble y avoir peu de différence entre aller au cinéma ou dans une église pour une assemblée liturgique. Or l’enjeu ou la nécessité vitale entre ces deux démarches ne peut être comparée. »

Le ministre de l’Intérieur avait déjà en 2018 annoncé vouloir modifier la loi 1905 pour surveiller la parole des ministres du culte…

Au début du 20e siècle, toutes les persécutions ont commencé de la même façon. D’abord, on a restreint le culte, puis on a fermé les églises. Cela s’est passé en Russie, au Mexique, en Espagne…

Et pour que les évêques de France soient si nombreux à protester, c’est que la situation est grave.

Protester avant qu’il ne soit trop tard

« Je pense qu’il y a une sorte de tropisme anticlérical en général – et peut-être anticatholique en particulier – qui a pris le dessus chez le président de la République. » Voilà ce qui a déclaré l’évêque de Nanterre sur KTOTV le 28 avril dernier. Hélas, les faits donnent raison à Mgr Rougé.

Si on ne réagit pas quand l’assistance à la Messe est interdite, quand réagira-t-on ?

« Je ne crois pas qu’on puisse capituler sans discussion devant ce qui apparaît comme un manque grave de respect envers les catholiques », a mis en garde Mgr Aillet.

S’il vous plaît, protestez auprès du chef de l’État en signant ici le message qui lui est adressé.